Une ville nouvelle : Planoise
La construction de Planoise s’explique par la situation du logement en France à l’époque et donc à Besançon aussi.
Période historique : Époque contemporaine
Loi sur l’enseignement primaire obligatoire
Durant les années 1880, les Républicains, désormais majoritaires au Parlement, ont placé l’école au coeur de leur projet politique. Les deux lois évoquées sur cette affiche sont emblématiques de cette ambition.
Armand Cérioli devient Français
Le 13 janvier 1938, Armando Cerioli de nationalité italienne, devient, à 22 ans, Armand Cerioli, de nationalité française.
Une affiche des Jeunesses Patriotes
Nationaliste, conservatrice et profondément anticommuniste, la ligue des Jeunesses Patriotes instrumentalise la question de l’immigration afin de discréditer ses adversaires du Front populaire.
Une lettre de dénonciation en 1936
Ce document est une lettre anonyme écrite par un ouvrier bisontin de l’horlogerie. Elle est adressée au commissaire spécial de Besançon le 20 mai 1936. Elle est signée « Votre bien dévoué ».
Compte-rendu de la Fête de la Révolution à Besançon
La cérémonie qui se déroule le 16 juin 1790 sur le champ de Mars bisontin (l’actuelle promenade Chamars) prend place dans une série de grandes fêtes civiques provinciales.
Un arrêté au temps de la Terreur
En cette fin d’année 1793, le pouvoir est aux mains du comité de salut public, dominé par Robespierre. C’est la Terreur depuis notamment la « loi des suspects » du 17 septembre 1793.
Un soldat de 1914
André Roz représente sur cette aquarelle un soldat durant la Première Guerre mondiale. Il est assis contre un arbre, le casque à ses côtés, au milieu d’un paysage apocalyptique comme en témoignent les arbres détruits. Il semble blessé.
Une société féminine au cœur de la Révolution
Deux années après l’apparition des premières sociétés populaires féminines à Paris, un club des « Amies de la vérité et de l’égalité » est constitué à Besançon en octobre 1792.
Les inventaires à Boujailles
» Les chevaux broient sur le sol des membres de femmes et d’enfants. Les gendarmes frappent brutalement de leurs crosses de pauvres femmes sans défense » Voici en quels termes le journal Le courrier de la Montagne rend compte des « incidents de Boujailles ».