Période historique : Époque contemporaine

La colonne Garibaldi à Crépand

Au sommet de la colline de « La Potelle » (381 m d’altitude) la Colonne Garibaldi dresse ses 7 mètres de pierre (dont 3,50 de socle).  Préfigurant architecturalement les nombreux monuments aux morts pour la France de la Grande guerre, elle date cependant du conflit précédent.

Jouer à la messe

Dans les trésors des réserves du Musée comtois de Besançon, un objet sorti du passé et de l’enfance vient questionner nos pratiques et l’évolution de notre société.

Le monument Quand-même

Cette carte postale de la fin du XIXème siècle représente le monument « Quand-Même » sculpté par Antonin Mercié sur décision de la municipalité de Belfort en 1884, afin de rendre hommage à Adolphe Thiers et Denfert-Rochereau.

L’usine miniature

Cette maquette présente une reconstitution animée des ateliers des usines du Creusot à l’époque des Schneider. Elle a été conçue par Joseph Beuchot entre 1890 et 1910.

La gare de la Bédugue

La gare de la Bédugue est le premier arrêt en périphérie de Dole. Cette ligne ouverte en 1884 accueille des trains de fret et de passagers. Elle doit rapprocher les villes du Revermont et la plaine jurassienne des zones économiques de Dole et Dijon.

L’article 29 du cahier de doléances de Champagney

Antoine Priqueler officier de la garde du roi Louis XVI, proche de La Société des amis des Noirs, évoque le sort tragique infligé aux esclaves noirs dans le cadre de la traite.

Un épisode du siège de Belfort

Cet ordre, de la main de Denfert-Rochereau, gouverneur de la place de Belfort, est daté du 20 janvier 1871. Il ordonne le transport des projectiles stockés dans les enceintes extérieures et intermédiaires dans un magasin à proximité du château, à l’abri des tirs ennemis.

La villa Perrusson et son jardin

Située entre le chemin de fer et le Canal du Centre reliant Digoin à Chalon-Sur-Saône, La villa a été construite entre 1869 et 1895, au cours de l’ascension sociale de la famille Perrusson.

Un noble icaunais qui renonce à ses privilèges : Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau

Lors de la nuit du 4 août, les députés de l’Assemblée nationale constituante votèrent l’abolition de certains droit seigneuriaux et la possibilité de racheter les autres, ainsi que la suppression des privilèges. Lepeletier de Saint-Fargeau vota en faveur de ces réformes prises dans le contexte des émeutes de la Grande peur.