Lieu de conservation : Archives de Haute-Saône

La loi de 1905 à Gouhenans

La loi de 1905 est mal accueillie par les Catholiques qui refusent de former les associations cultuelles prévues et s’opposent aux inventaires destinés à distinguer les biens publics des biens des églises. En Haute-Saône l’application de la loi fait l’objet de nombreuses querelles entre les autorités communales et les prêtres desservants comme par exemple celle concernant l’église de Gouhenans dans le canton de Lure.

La Libération de la Haute-Saône

Michel Larcher (1922-2011) est photographe à Vesoul en 1944. Il combat dans le maquis de Theuley-les-Lavoncourt puis s’engage comme de nombreux résistants dans l’armée française pour la durée du conflit jusqu’en 1945.

La création du département de la Haute-Saône

Par le décret du 5 février 1790, la Franche-Comté fut divisée en trois départements : le Doubs, le Jura et l’Amont qui pris ensuite le nom de Haute-Saône et fut constitué par l’ancien bailliage d’Amont dans sa quasi-totalité.

Troubles survenus à Port-sur-Saône en 1849

La lettre du maire de Port-sur-Saône adressée au préfet de Haute-Saône le 5 avril 1849 fait  état de troubles survenus dans sa localité avant les élections législatives de mai 1849.

L’article 29 du cahier de doléances de Champagney

Antoine Priqueler officier de la garde du roi Louis XVI, proche de La Société des amis des Noirs, évoque le sort tragique infligé aux esclaves noirs dans le cadre de la traite.

Vesoul au XVIIIème siècle

Cette carte est un extrait du plan de 1769, réalisé par Antoine Legros géomètre à Frotey. Les numéros permettent d’identifier un certain nombre de points repères ou monuments de la ville.

Le "drame "de Quincey

Le drame de Quincey

Cette archive de juillet 1789 évoque le « crime affreux commis au château de Quincey près de Vesoul en Franche-Comté ». De quoi s’agit-il ?

Les forges de Baignes

Sur ce plan il est possible d’observer les forges au XIXème siècle, surnommées les « usines ».

Le sceau équestre d’Etienne de Montcley

Le sceau d’Etienne de Montcley est représentatif des sceaux équestres. On trouve dessus un chevalier qui galope vers la droite. Il porte son bouclier au bras gauche et il brandit son épée de la main droite.