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Buste de Voltaire

François-Marie Rosset, fils de Joseph Rosset, s’installe à Dole comme professeur de dessin après avoir habité Paris. Introduit dans les milieux artistiques et littéraires dolois, il dessine et peint les portraits d’érudits dolois comme le sculpteur Claude-François Attiret.

Le chemin de fer clandestin aux Etats-Unis

Ces trois gravures présentent un réseau d’évasion spécifique aux esclaves du Sud des Etats-Unis appelé « Le chemin de fer clandestin » (en anglais, « Underground Railroad »)

Le baptême d’un jeune « sauvage » à Auxerre en 1729

Le 4 juin 1729 eut lieu en la cathédrale d’Auxerre une cérémonie inhabituelle, celle du baptême d’un jeune « sauvage » d’une dizaine d’années originaire d’une tribu amérindienne de Louisiane, après six mois de catéchèse.

La statue antique de  » Bacchus enfant », chef-d’oeuvre retrouvé

Il s’agit d’une statue en bronze, mesurant près de quarante centimètres, découverte en 1894 lors des fouilles menées sur le site gallo-romain de Vertillum (aujourd’hui Vertault, situé à une vingtaine de kilomètres de Châtillon-sur-Seine).

Aidez l’Espagne

En 1937, Juan Miró réalise un projet de pochoir, « Aidez l’Espagne » à la demande de Zervos pour éditer un timbre afin de collecter des fonds pour aider l’Espagne Républicaine.

La nourriture gauloise

Les vestiges archéologiques de nourriture restent très rares : les objets organiques se décomposent très rapidement.

Le port de Bordeaux

Le port de Bordeaux, situé à l’embouchure de la Garonne, est très actif au XVIIIème siècle grâce au commerce colonial pratiqué par les grandes familles de négociants bordelais. Deuxième port négrier français derrière Nantes, Bordeaux connaît alors une période de prospérité qui conduit au changement de physionomie de la ville.

Une habitation type de la Capesterre

Cette maquette s’inspire d’un schéma dressé par le géographe Guy Lasserre en 1961 d’après les écrits du Père Labat (1663-1738). Ce dominicain décrit la société caribéenne à laquelle il appartient dans ses écrits.

La Déploration sur le Christ mort

Ce tableau a été commandé par le duc de Florence, Cosme de Médicis, pour décorer la chapelle de sa femme Éléonore de Tolède dans le palais de la Seigneurie (Palazzo Vecchio). Mais Cosme offre en 1545 cette œuvre à Nicolas Perrenot de Granvelle pour le remercier de son soutien auprès de Charles Quint.