Thème : La guerre aux XIX et XX ème siècle

La guerre civile en Espagne par le magazine Vu

En 1936, le photoreporter Robert Capa est envoyé par le magazine Vu en Espagne durant la Guerre Civile. Sur le front de Cordoue, il photographie des soldats républicains frappés par les balles des miliciens nationalistes franquistes.

Un tract au temps de la Guerre froide

Il s’agit d’un tract du mouvement anticommuniste « Paix et Liberté ». Il fait référence à l’appel de Stockholm, pétition contre l’armement nucléaire américain.

La prise de la tour de Malakoff, Horace VERNET

Cette toile de grandes dimensions est caractéristique de la peinture militaire officielle du XIX ème siècle. Elle représente l’un des actes de bravoure les plus fameux du Maréchal de Mac-Mahon, autunois d’origine. Cette œuvre décrit l’un des passages clés de la guerre de Crimée : la division commandée par Mac-Mahon vient de s’emparer de Malakoff et le caporal des zouaves, Eugène Lihaut, plante au sommet le fanion du général

La Libération de la Haute-Saône

Michel Larcher (1922-2011) est photographe à Vesoul en 1944. Il combat dans le maquis de Theuley-les-Lavoncourt puis s’engage comme de nombreux résistants dans l’armée française pour la durée du conflit jusqu’en 1945.

Monument de la place Carnot « Aux enfants de la Nièvre, morts pour la France »

Le monument départemental  aux morts est situé place Carnot en centre-ville de Nevers. Initié par la ville de Nevers en 1918, confié au sculpteur nivernais Alix Marquet et à l’architecte Claude Camuzat, le monument est inauguré, après de multiples rebondissements, le 1 novembre 1923 par le président de la République Raymond Poincaré.

Le monument aux morts de Vitteaux

Le premier monument aux morts de Vitteaux est religieux (surmonté d’une statue de la Vierge) et mentionne le nom des grandes batailles de la guerre « 1914-1919 ». Les noms des hommes, eux, ont été gravés sur des plaques à l’intérieur de l’église (au centre du cimetière), de part et d’autre du chœur.

L’épuration en Haute-Saône

Les rapports d’enquête de gendarmerie ou de police d’après la Libération constituent des sources très intéressantes pour étudier l’épuration, qui se définit comme la répression de la collaboration avec les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.

La colonne Garibaldi à Crépand

Au sommet de la colline de « La Potelle » (381 m d’altitude) la Colonne Garibaldi dresse ses 7 mètres de pierre (dont 3,50 de socle).  Préfigurant architecturalement les nombreux monuments aux morts pour la France de la Grande guerre, elle date cependant du conflit précédent.

Un épisode du siège de Belfort

Cet ordre, de la main de Denfert-Rochereau, gouverneur de la place de Belfort, est daté du 20 janvier 1871. Il ordonne le transport des projectiles stockés dans les enceintes extérieures et intermédiaires dans un magasin à proximité du château, à l’abri des tirs ennemis.