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Le cours d’action morale à Joigny (1942-1943)

En 1943 est paru Une heure d’action morale, un ouvrage à destination des Jeunes publié par Camille Flamand, avec les services du gouvernement de Vichy. Cet ouvrage devait sans doute être utilisé par les professeurs dans le cadre de cours d’Action morale.

Denfert-Rochereau, enfant adoptif de Montbéliard

Le 14 mai 1878, Charles-Louis Fallot, maire de Montbéliard, s’exprime devant ses élus : « La France vient de perdre l’un de ses plus illustres enfants : le colonel Denfert-Rochereau ».

Le chêne de Flagey

Une clé en fer

Cette clé de 5 cm fait partie des dizaines d’autres retrouvées à Bibracte. Elle pouvait être destinée à fermer un coffre, une porte, voire des entraves ou des menottes.

Portrait en buste d’une concubine impériale, Jean-Denis Attiret

Jean-Denis Attiret (1702-1768) est issu d’une famille d’artistes, comprenant des peintres, sculpteurs et architectes originaires de Dole. Après un apprentissage dans l’atelier de son père, Jean-Claude Attiret (1669-1733), menuisier et peintre, Jean-Denis quitte sa ville natale à l’âge de 33 ans pour Avignon, où il entre dans l’ordre des Jésuites.

Le quartier de la Citadelle

La Citadelle est le quartier nord-ouest de Montbéliard situé sur un haut plateau. Ce quartier doit son nom au monument défensif qui a pendant plusieurs siècles occupé ce lieu. Au début du XVIIe siècle, la principauté de Montbéliard représente un endroit stratégique important.

Des ex-voto

Les fouilles archéologiques menées dans la région ont permis d’enrichir les collections du musée du Pays Châtillonnais-Trésor de Vix de nombreux objets votifs offerts à des divinités locales, souvent liées à l’eau et à la guérison, tels des bijoux en bronze, des pièces de monnaie. On appelle ces offrandes, des ex-voto (signifiant en latin « d’après le vœu »).

Sur un plateau du Jura, l’automne, Auguste Pointelin, 1876

Né dans une famille de vignerons à Arbois, Auguste Pointelin (1839-1933) découvre sa vocation de peintre durant ses années de lycée, encouragé par son professeur de dessin, Victor Maire.

La chapelle de Ronchamp, une chapelle de la reconstruction

La colline de Bourlémont à Ronchamp est un lieu de pèlerinage marial où plusieurs sanctuaires se sont succédé au fil du temps. La chapelle, qui s’y dressait depuis le Moyen-Age, a été détruite lors des bombardements alliés en 1944. Après la guerre, la nécessité de la reconstruire s’impose aussitôt.

Un réseau pionnier : le réseau Grenier-Godard

17 juin 1940, l’occupation de Dijon débute. Très vite, de nombreux Dijonnais initient les premières manifestations du refus de la défaite et parmi eux, une famille du quartier Saint-Michel, les Grenier-Godard : Alphonse, ancien combattant de la Première Guerre mondiale, gazé sur le front d’Orient en 1917, Blanche, infirmière engagée dès septembre 1939 et leurs deux jeunes fils, René quinze ans et Jean onze ans.